Mes démarches
Menus cantine
Espace famille
Déchets
Infos pratiques
Signaler à ma mairie
Associations
Transports
Un mois pour lutter contre le cancer du sein et ceux liés aux papillomavirus.
Alerter et prévenir, c’est le but d’Octobre rose ; mois dédié à la sensibilisation aux cancers féminins et à leur dépistage. Consulter régulièrement un professionnel de santé pour se faire dépister peut sauver des vies. Détecté à un stade précoce, le cancer du sein se guérit dans 9 cas sur 10. Afin d’affirmer leur engagement pour la cause, les élus et agents de la Mairie de Launaguet prennent la pose.
Libérons la parole, parlons du dépistage !
Cancer du sein
Détecté à un stade précoce, le cancer du sein peut être guéri dans 9 cas sur 10.
Plusieurs moyens peuvent être mises en place afin de favoriser une détection précoce :
- La consultation d’un médecin en cas de changements de couleur ou de forme au niveau des seins.
- Un examen clinique des seins (palpation) par un médecin généraliste, un gynécologue ou une sage-femme, recommandé tous les ans dès l’âge de 25 ans.
- Une mammographie de dépistage proposée tous les deux ans aux femmes de 50 à 74 ans.
- Des modalités de suivi spécifiques, en fonction du niveau de risque pour les femmes présentant des antécédents médicaux personnels ou familiaux, ou prédispositions génétiques.
- L’autopalpation mammaire régulière.
Comment réaliser une autopalpation mammaire ?
Cancer du col de l’utérus
Au cours de leurs vie, la très grande majorité des hommes et des femmes s’infectent par le Papilloma Virus Humain (HPV). Dans 9 cas sur 10, l’infection s’élimine spontanément. Lorsque l’infection persiste pendant 15 à 20 ans avec des HPV dits oncogènes, elle entraîne la formation de lésions. Celles-ci régressent très souvent spontanément et sans traitement, mais peuvent, dans de rares cas, évoluer vers un cancer et doivent être traitées. Grâce au frottis de dépistage, les lésions précancéreuses peuvent être traitées avant qu’elles ne se transforment en cancer. Le frottis est un prélèvement indolore de cellules du col de l’utérus pour rechercher des cellules anormales infectées par le HPV.
La vaccination permet aussi de protéger d’environ 90% des HPV.
Pour plus d’information, téléchargez le document ici.
Source : Ligue contre le Cancer, Comité de la Haute-Garonne